Παραδείγματα από το σώμα κειμένου για éros
1. En réalité, éros et agap'; – amour ascendant et amour descendant – ne se laissent jamais séparer compl';tement l‘un de l‘autre.
2. Disons déjŕ par avance que l‘Ancien Testament grec utilise deux fois seulement le mot éros, tandis que le Nouveau Testament ne l‘utilise jamais: des trois mots grecs relatifs ŕ l‘amour – éros, philia (amour d‘amitié) et agap'; – les écrits néotestamentaires privilégient le dernier, qui, dans la langue grecque, était plutôt marginal.
3. La mise de côté du mot éros ainsi que la nouvelle vision de l‘amour qui s‘exprime ŕ travers le mot agap'; dénotent sans aucun doute quelque chose d‘essentiel dans la nouveauté du christianisme concernant précisément la compréhension de l‘amour.
4. Il indique que "d';s les premiers écrits, en 1'46–47, une voix originale, clame/réclame le pouvoir d‘un éros qui ne cessera de dévaster le jeune homme tout au long de sa carri';re d‘homme et d‘entretenir la sédition telle que l‘entendaient les grands maîtres soufis". La lecture de quelques po';mes de Dib, bien répertoriés dans cet ouvrage, a permis en effet de mesurer l‘intensité du mot et la signification du verbe. ‘‘L‘exploit du corps‘‘, ‘‘L‘Empire de la chaleur‘‘, ‘‘Terre errante‘‘, po';me qui avait marqué le po';te français Aragon, sont entre autres textes poétiques dont la lecture cadencée a agrémenté le débat de cette rencontre enrichissante ŕ plus d‘un titre.